Aluminium
Aluminium, le nouveau scandale de santé publique ?
Le gouvernement a pris conscience de l’énorme problème de santé publique que posent l’amiante, le plomb et le mercure. Quand peut-on espérer que les autorités sanitaires prendront la mesure du problème de l’aluminium ?
L’aluminium fait partie de la catégorie des métaux lourds qui ne sont naturellement pas présents dans le corps. Les études scientifiques montrent que l’aluminium perturbe plus de 200 réactions biologiques dans le corps. Il stimule la formation d’IgE donc les allergies. Quand les particules très fines d’aluminium pénètrent dans le cerveau, elles ne ressortent plus, entrainant phénomènes inflammatoires et problèmes neurotoxiques. C’est encore plus vrai pour les nourrissons avant 6 mois dont la barrière encéphalique est beaucoup plus perméable.
Il est difficile de savoir la dose d’aluminium à laquelle nous sommes soumis quotidiennement. En effet, l’hydroxyde d’aluminium est utilisé dans l’agro-alimentaire comme additif alimentaire (agent blanchissant, agent levant, anti-agglomérant, anti-oxydant,…) sans que son nom E541 ne soit mentionné, mais aussi dans les produits de beauté et d’hygiène quotidienne ou encore dans les vaccins. Ainsi, on peut trouver de l’aluminium dans :
- Pain, pain de mie et viennoiseries industriels
- Gâteaux industriels
- Sel raffiné, plats cuisinés
- Charcuterie, knacky
- Papier aluminium utilisé en papillote ou emballage de produits acide (avec citron ou vinaigre)
- Dentifrice, déodorant (le lien entre cancer du sein et utilisation de cosmétiques contenant de l’aluminium clairement prouvé)
- Crèmes (en particulier solaires et après-soleil)
- Après-shampoing, coloration pour cheveux
- Fard à paupière, vernis à ongle
- Lait infantile
- Vaccins…
A noter que l’aluminium qui passe par la peau par le biais des cosmétiques ou dans le muscle par les vaccins est encore plus préjudiciable que quand il est ingéré dans l’alimentation. Les fabricants de l’agro-alimentaire n’ont pas encore de normes à respecter quant à la quantité d’aluminium qu’ils mettent dans les préparations culinaires, sauf en bio où certains labels comme Ecocert garantissent une absence d’aluminium.
En ce qui concerne les laits infantiles, Christopher Exley, un chercheur en biochimie anglais a publié une étude édifiante en 2010. Il a analysé 8 grandes marques de lait infantile. Il en a conclu que ces laits contenaient en moyenne 0,4 mg/l, soit plus de deux fois plus d’aluminium que dans l’eau du robinet ! Un scandale quand on sait que l’aluminium accumulé dans le cerveau en tout début de vie restera la vie entière et pourra entrainer des problèmes de santé majeurs.
Quant aux vaccins, l’aluminium est utilisé comme adjuvant pour limiter la quantité de principe actif. Plus d’un vaccin sur deux contient de l’aluminium et pour certains vaccins tels que le vaccin anti-tétanique, l’alternative sans aluminium n’est pas disponible en France alors qu’elle est possible avec un composé issu du calcium. On sait maintenant que certaines personnes auront du mal à éliminer l’hydroxyde d’aluminium dans les semaines et mois qui suivent le vaccin et déclencheront des problèmes plus ou moins handicapants comme une fatigue chronique, des phénomènes neurologiques ou cognitifs. Pour les malades atteints de myofascite à macrophage par exemple, 100 % ont reçu un vaccin dans l’année qui précède la déclaration de la maladie. Les vaccins mis en cause pour cette pathologie sont majoritairement le vaccin contre l’hépatite B, puis celui contre le tétanos et contre l’hépatite A.
Alors en attendant des recommandations plus claires sur l’aluminium, limitez au maximum vos contacts avec l’aluminium. Prenez une loupe pour faire la chasse à l’alu sur les étiquettes (évitez levure, arômes non naturels, gluten de blé, anti-agglomérant, anti-oxydant,… susceptibles de contenir de l’aluminium) !